Crier pour réduire au silence
Lors d’un grand débat politique l’an dernier, un homme ne cessait de crier ses réponses, de parler en même temps que les autres candidats et de rire lorsque ses adversaires lui répondaient. Pourquoi agissait-il ainsi ? Il cherchait à réduire les autres au silence avec son boucan.
La puissance de l'Esprit
L’année dernière, un homme a rédigé sa propre nécrologie avant de mourir du cancer. Le texte était empreint de son sens de l’humour, mais il renfermait également une très sérieuse confession. Cet homme de 59 ans avait volé le coffre-fort d’une entreprise lorsqu’il était jeune et il avait menti au sujet d’un doctorat qu’il n’avait jamais obtenu. Dans la mort, ses péchés secrets ont été révélés. Son aveu posthume a mis au jour des choses qu’il avait eues sur la conscience pendant de nombreuses années.
Quelque chose de pourri
Tout récemment, je me suis mis à la recherche d’une bonne voiture d’occasion. Je suis allé vérifier un modèle 2006 qui avait l’air en parfait état. Les apparences peuvent être trompeuses. Mon mécanicien a jeté un coup d’oeil à mon achat éventuel et a trouvé de sérieux problèmes au niveau de la transmission. Si j’avais acheté la voiture, j’aurais eu à débourser des milliers de dollars en réparations.
Parlant de Jésus
Alors que j’attendais que le mécanicien permute les pneus de ma voiture, j’ai engagé la conversation avec un homme qui se trouvait dans la salle d’attente. Cela faisait quelques jours que Troy visitait ma ville lorsqu’il s’est aperçu que son véhicule avait besoin d’être réparé. Après avoir causé de tout et de rien, le Saint-Esprit m’a poussé à aller plus loin et j’ai pu lui partager ma foi en Jésus. Nous nous sommes laissé nos coordonnées, et plus tard, il m’a envoyé un courriel contenant ces mots : « Mon séjour dans [ta ville] a été super, mais tu es la seule personne qui m’ait parlé de Jésus. Les autres ont parlé de leur Église ».
Indésirable et mal-aimé
Un pasteur et sa congrégation, servant dans une zone connue pour ses toxicomanes, alcooliques et prostitués, ont adressé à Dieu pendant plusieurs années une prière surprenante : Seigneur, envoie-nous les gens dont personne ne veut. Cette prière a été exaucée. Plus de 800 membres de l’Église participent à des programmes de réhabilitation conçus pour les aider à se libérer de leur mode de vie destructeur. Dernièrement, le pasteur a ajouté ceci à la fin de sa prière : …et que personne d’autre ne voit. Il dit : « Souvent, on fait peu de cas de [ces gens]… Mais après tout, comme Jésus l’a dit : "Ce ne sont pas ceux qui se portent bien qui ont besoin de médecin, mais les malades" (Mt 9.12). »
Les pleurs d'un enfant
Un état des États-Unis a adopté une loi exigeant que toute femme enceinte qui désire se faire avorter passe une échographie pour voir son enfant, qu’elle reçoive des explications médicales sur ce qu’elle voit, et qu’elle écoute les battements de coeur de son bébé. Suite à l’adoption de cette loi, une blogueuse en faveur de l’avortement a fait une collecte de fonds afin d’acheter des iPod pour les cliniques d’avortement. Son but ? Permettre à toutes les patientes de couvrir le bruit de la vie qui palpite en elle.
Haine et amour
Elle détestait tous ceux qui croyaient en Dieu. Athée et fière de l’être, la jeune femme faisait tout en son pouvoir pour démolir la foi des croyants en Jésus. Elle allait même jusqu’à écrire des vulgarités sur les pages de leur Bible. C’est alors que, tandis que le Saint-Esprit travaillait dans sa vie et que des chrétiens continuaient de lui démontrer de l’amour, son coeur a commencé à s’attendrir. Elle s’est tout d’abord considérée comme une « agnostique ». Le jour est venu où elle est tombée à genoux et a reçu en pleurant Jésus comme son Sauveur. J’ai récemment eu le privilège de participer à son baptême. La foi avait remplacé son incrédulité. L’amour avait vaincu la haine.
Cinq mots
Une enquête faite en 2012 par US Millennials auprès de personnes de 18 à 24 ans, a permis de découvrir une curieuse tendance. Le sondage a révélé qu’un jeune adulte sur quatre définit son engagement religieux comme étant « non affilié ». Toutefois, 55 % de ces derniers se sont déjà « identifiés avec un groupe religieux » lorsqu’ils étaient plus jeunes. Ils se sont tout simplement écartés de la foi qu’ils avaient un jour embrassée.
Connaître sa place
J’ai lu récemment l’histoire d’un homme qui a fondé une Église et l’a vue grandir et s’épanouir au fil du temps. Mais, contrairement à certains pasteurs qui s’agrippent à la chaire, il a commencé à préparer un jeune homme en vue de lui confier les rênes de son Église. Pourquoi ? Parce qu’il avait le sentiment que c’est ce que Dieu lui demandait. Et, à seulement 51 ans, ce pasteur dynamique et bien portant s’est humblement retiré afin de laisser la place à son jeune protégé de 30 ans.
Un ramassis de plaintifs
Il y a plusieurs années, alors que j’étais conseiller en relation d’aide dans un camp chrétien, le personnel du programme a commencé à éprouver des difficultés. Pourquoi ? Quelques-uns des conseillers n’appréciaient pas la façon de diriger du directeur, alors ils se sont mis à se plaindre. Plus les plaintes se répandaient, plus les gens s’y joignaient. À la fin de la semaine, le personnel s’était polarisé sur la situation, et tout le camp était touché par cette ambiance mouvementée.